Le Montois, arrivé cet été dans l’effectif de Jonathan Labie, s’est vite rendu indispensable dans le onze de base de la JS Meslin.

Meslin-Grand Marais n’arrive pas à décoller en ce début de saison malgré son brevet d’invincibilité avec un bilan de quatre partages et deux victoires.

Vincent Palmeri a de son côté des jambes de feu en ce début de championnat. L’ancien médian du RAQM a une nouvelle fois livré une prestation propre lors du match nul contre Pommeroeul (0-0).

« Je me sens bien car je ressens la confiance du staff ainsi que de l’ensemble de l’équipe », souligne le Montois.

« Mon rôle dans l’entrejeu ne change pas trop par rapport aux saisons précédentes, même si mon apport offensif est plus important. J’ai déjà adressé plusieurs passes décisives car je me charge de tirer la plupart des corners et coups francs. Je ne m’en chargeais pas spécialement à Biévène car il y avait un gars comme Wim Vrancx qui se débrouille bien dans le domaine (sourire). »

Des saisons compliquées

Habitué à évoluer en P1 et P2, Vincent Palmeri ne regrette pas d’être descendu en P3. « Je suis venu à Meslin-Grand Marais car Jonathan Labie m’avait déjà entraîné à Biévène. Je sais qu’il met du sérieux dans ses entraînements. Je voulais en plus être sûr de jouer le top après trois saisons compliquées dans mon précédent club. »

L’expérience du milieu de terrain sera un atout précieux pour la JS dans les mois à venir.

Vincent Palmeri savoure chaque minute de ce championnat. Il n’avait plus évolué depuis un petit temps dans une série plus axée Mons-Borinage. « Les matches à domicile représentent les plus longs déplacements (rires) », sourit le Montois. « Je suis ravi de recroiser sur le terrain des joueurs que je connais bien comme Julien Wattier et Dylan Boite du côté de Cuesmes. Il y a aussi Filippo Porco à Espanola avec qui j’ai défendu les couleurs du RAQM. »